Riccardo Petrella

En muchos lugares, el agua a la que se puede acceder está polucionada o muy polucionada, mientras que el agua potable se malgasta (en las cisternas domésticas por ejemplo, al lavarse las manos en los toilettes, o vía fugas en las cañerías).

L'industrie a fait valoir l'intérêt d'un « partenariat public-privé » (PPP) où le public fixe les règles, mais où le public se prive ainsi des taxes qui finançaient autrefois les grandes infrastructures de l'eau.

Petrella dénonce le fait que les aqueducs, barrages, zones humides, etc. ne risquent d'être financés et entretenus par le privé que pour les plus riches, car la logique du privé est celle d'un retour sur investissement élevé et rapide, qui implique donc une marchandisation accrue de l'eau.

Même sans rapidement utiliser les toilettes sèches qui existent, et qui seraient encore moins chères, l'utilisation d'eaux grises ou résiduelles permettraient d'économiser chaque année des milliards de litres d'eau potable.

[7]​[8]​ Le second sommet mondial de la terre (Johannesburg, 2002) a surtout été consacré à l'eau, mais via les partenariats public-privé en 2009, et R. Petrella et ses partenaires[11]​ ne constatent pas de progrès significatif et militent toujours pour que chacun ait un droit minimal d'accès à l'eau, car en 2009, alors qu'il faut faire subsister environ 7 milliards d'humains, selon l'ONU ; Petrella dit que l'eau – comme d'autres problèmes écologiques – va s'imposer comme problème prioritaire pour le monde, et que, bien que des solutions soient connues et applicables, l'énergie (pétrole, gaz, charbon, nucléaire) reste (avec en 2009 la crise financière et économique) en tête des agendas des gouvernants.

Avec Petrella, Maude Barlow[12]​ ajoute que notre mauvaise gestion de l'eau (via la déforestation, l'irrigation, le drainage irrationnels et la désertification notamment) exacerbe en outre les dérèglements climatiques et leurs effets.

En 2009, Petrella propose donc aux citoyens de collaborativement rédiger un mémorandum (ou protocole, ou pacte mondial pour l'eau, que le parlement européen accepte d'accompagner), qui ne serait pas une obligation mais une forme de programme citoyen, devançant celui des gouvernements qui peinent à s'accorder sur cette question (il existe une convention mondiale sur la biodiversité et une convention et un protocole sur le climat, mais non sur l'eau, les sols ou la forêt).

Enfatiza Ricardo Petrella que los recursos naturales deben ser considerados como un bien común de la humanidad, llamando la atención en relación a que en este mundo moderno muchas cosas se han globalizado y mundializado (los transportes, el comercio, la agricultura, la cultura, las finanzas …), aunque aún no se ha podido garantizar un acceso equilibrado y justo a los recursos.

[7]​[8]​ Son muy valientes sus posiciones generales contra la mercantilización del mundo, por la defensa del bien común, contra la privatización de los recursos que son vitales para el hombre (el agua en particular), y aún la renta de subsistencia que por razones éticas debería ser acordada a todos los ciudadanos en condiciones difíciles.